Le président birman a souligné que lesdialogues politiques étaient nécessaires pour la réconciliationnationale et le fondement du processus de paix nationale qui demande larévision ou l'amendement de la Constitution.
"Je nevoudrais pas que des restrictions soient imposées au droit de chaquecitoyen de devenir le leader du pays", a déclaré Thein Sein et repris del'AFP.
A ce propos, le président birman a fait savoirque la révision de la Constitution serait effectuée pour favoriser laréconciliation nationale, créant un fondement en faveur du processus depaix nationale à travers le consensus sur la base de la compréhensioncommune et l'écoute des demandes de chaque partie.
Il aajouté que l'amendement de la Constitution et d'autres problèmes qui ysont relatifs étaient en débat public. Selon lui, les principalesformations politiques dont la Ligue Nationale pour la Démocratie (LND)dirigée par Mme Aung San Suu Kyi et d'autres doivent organiser desforums et meetings pour discuter de la révision de la Constitution.
Auparavant, le Parti de la Solidarité et du Développement de l'Union(USDP), parti au pouvoir au Myanmar, a demandé d'amender 73 articles etd'en abroger 21 autres dans la Constitution de 2008 avant les électionslégislatives de 2015.
La LND d'opposition de Mme AungSan Suu Kyi a déclaré qu'elle prendrait part aux élections législativesde 2015 que la Constitution soit révisée ou non. -VNA