Le PM demande de régler le fléau de la congestion du trafic

Le PM demande de régler le fléau de la congestion du trafic à Hô Chi Minh-Ville

Le Premier ministre Nguyên Xuân Phuc a demandé le 23 janvier à Hô Chi Minh-Ville des solutions à la fois immédiates et à long terme à la congestion du trafic.
Hanoi,24 janvier (VNA) – Le Premier ministre Nguyên Xuân Phuc a demandé le 23janvier à Hô Chi Minh-Ville des solutions à la fois immédiates et à long terme àla congestion du trafic.

Laville devrait être plus proactive et énergique dans le contrôle et le règlementdu fléau de la congestion dans les meilleurs délais, a-t-il indiqué lors de laréunion en ligne avec les autorités municipales.

Enparticulier, il ne faut pas laisser se reproduire la situation où des habitantsn’avaient pas pu revenir à temps dans leur pays natal célébrer le Têt(Nouvel  An lunaire), étant coincés dans de longues longues files devéhicules, a-t-il souligné.

Malgrédes préparatifs de la plus grande fête traditionnelle de l’année, la congestionet l’encombrement de la circulation ne connaissent pas de répit, au grand damde la population de la mégapole du Sud.

Autotal, 37 points noirs routiers ont été identifiés en 2016, en majorité dansles sens de départ et d’arrivée à l’aéroport international de Tân Son Nhât, duport de Cat Lai, du centre-ville et des routes reliant la banlieue au centre dela ville.

HôChi Minh-Ville recensait jusqu’en décembre dernier 622.137 autos et 7.266.088motos, en hausse de 5,86% par rapport à la même période de 2015.

Lamégapole du Sud a estimé qu’il faudrait 38.308 milliards de dôngs pour réduirela congestion en 2017, et 323.937 milliards de dôngs pour financer des dizainesde programmes et projets pour fludifier le trafic. – VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.