Le Canada soutient l'ASEAN dans le renforcement de l'égalité des sexes

Le Canada accordera une nouvelle aide financière pour soutenir les femmes aséaniennes dans leur accès au système juridique de manière plus égale, selon une déclaration rendue publique mercredi par le ministère du Développement international et de la Francophonie.
Le Canada accordera unenouvelle aide financière pour soutenir les femmes aséaniennes dans leuraccès au système juridique de manière plus égale, selon une déclarationrendue publique mercredi par le ministère du Développementinternational et de la Francophonie.

Selon Lois Brown,secrétaire du ministre du Développement international et de laFrancophonie, Christian Paradis, cette aide vise à améliorer l'égalitédes sexes dans la justice dans huit pays de l'ASEAN que sont Indonésie,Laos, Philippines, Timor-Leste, Cambodge, Myanmar, Thaïlande et Vietnam.

Il a souligné que l'assurance de l'égalité des sexesétait une exigence de tous les pays. La position des femmes doit êtreaméliorée, leurs droits doivent être respectés et leurs contributionsreconnues.

La convention de l'ONU a bien stipulé quel'accès à la justice est non seulement un droit fondamental mais encoreune condition sine qua non pour protéger et valoriser les droits civil,culturel, économique, sociopolitique.... La convention a reconnu ledroit des femmes de participer de manière égale au développement de lasociété, a-t-il ajouté.

Lois Brown a affirmé que leCanada figure parmi les premiers pays du monde en matière de protectiondes droits des femmes et est très fier de soutenir les pays de l'ASEANdans l'amélioration de l'égalité des sexes. -VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.