Le 1er Festival pour les malvoyants de Hanoi

Le 1er Festival "La confiance et la lumière" pour les malvoyants de la capitale a eu lieu dimanche au palais des enfants de Hanoi, en présence du vice-président de l'Assemblée nationale du Vietnam, Uong Chu Luu.

Le 1er Festival "La confiance et la lumière"pour les malvoyants de la capitale a eu lieu dimanche au palais desenfants de Hanoi, en présence du vice-président de l'Assembléenationale du Vietnam, Uong Chu Luu.

Placé sous les auspices de l'Union de la jeunesse communiste Ho ChiMinh de Hanoi et de l'association municipale des aveugles, c'est lapremière fois qu'un tel évènement est organisé pour exprimer lasolidarité de la société à l'égard des handicapés de la capitale.

Cette activité fait écho au 42e anniversaire de la fondation del'Association des aveugles vietnamiens (AAV) (17 avril 1969 - 17 avril2011) et à la Journée des handicapés vietnamiens (le 18 avril).

Lors de ce festival, plus de 400 malvoyants et plus de 1.000 étudiantsde dix université à Hanoi ont participé aux activités telles queprésenter les produits de l'AAV dans les districts, honorer dixmalvoyants exemplaires représentatifs.

Au nom du Partiet de l'Etat, le vice-président de l'AN a souligné que les autorités detous échelons, les organisations devaient accorder davantage leursoutien aux malvoyants dans l'éducation, la formation professionnelle,le travail,...

Actuellement, Hanoi compte environ 12.000malvoyants dont de nombreux ont su faire fi de leur handicap pourcontribuer au développement de la société. - AVI

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.