L'AVI au chevet des victimes de l'agent orange/dioxine

 "La douleur de l'agent orange/dioxine n'est pas uniquement vécue par les victimes. En effet, c'est toute la population vietnamienne qui la ressent et la partage, de même que tous les hommes de conscience vivant sur Terre".

 "La douleur de l'agent orange/dioxinen'est pas uniquement vécue par les victimes. En effet, c'est toute lapopulation vietnamienne qui la ressent et la partage, de même que tousles hommes de conscience vivant sur Terre".

C'est qu'a affirmé mercredi Tran Mai Huong, directeur général del'Agence vietnamienne d'Information (AVI), lors d'une cérémonie deremise d'une "maison du coeur" à Duong Van Manh, victime de l'agentorange/dioxine dans la commune d'An Lac, chef-lieu de Chi Linh,province de Hai Duong (Nord).

Cette maison a été construite grâce aux 30 millions de dongs prélevés du fonds "Pour la douleur de l'agent orange" de l'AVI.

Créé en septembre 2006, le fonds "Pour la douleur de l'agent orange" del'AVI a mobilisé depuis des aides des particuliers et organisationsvietnamiennes comme étrangères, lesquelles représentent aujourd'hui untotal de près de 4 milliards de dongs, sans compter les aidesmatérielles dont des centaines de fauteuils roulants, de médicaments...

Des milliers de victimes de l'agent orange/dioxine dansl'ensemble du pays ont reçu des cadeaux, d'une valeur totale de 3milliards de dongs de la part du fonds en question. Et des dizaines de"maisons du coeur" ont pu également être construites. -AVI

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.