Vu TienLoc, président de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Vietnam, adéclaré que la délivrance du visa avait un impact important surl'attirance des visiteurs étrangers, en plaidant pour la proposition duministère de la Culture, des Sports et du Tourisme portant surl'exemption de visa pour les citoyens australiens, néo-zélandais, despays de l'Europe de l'Est et de l'ex-Union soviétique.
"En 2014, le Vietnam a accueilli près de 8 millions d'arrivéesd'étrangers et a, à ce jour, exempté unilatéralement de visa lescitoyens de 22 pays", a-t-il fait savoir.
"Les paysmembres de l'ASEAN sont en passe d'élaborer et d'appliquer les normessur la profession et les services touristiques ainsi que les programmesde connexion régionale. Le respect de ces normes permettra au Vietnamd'améliorer sa compétitivité dans la région", a-t-il indiqué.
D'après certains experts, le Vietnam devrait mieux exploiter lesmarchés de l'Europe, de l'Asie-Pacifique et de l'Amérique latine, touten valorisant le marché intérieur. En parallèle, le pays devra saisirles besoins des visiteurs étrangers afin d'exploiter, de valoriser sesavantages touristiques, et d'améliorer la qualité des produits comme desservices touristiques.
Pour la période 2011-2015, lesecteur du tourisme a connu un développement rapide, avec notamment leperfectionnement de mécanismes et de politiques dans ce domaine, et laStratégie et le Plan global sur le développement touristique d'ici 2020et sa vision 2030, tous deux approuvés par le Premier ministre.
Ces dernières années, le Vietnam a enregistré un taux moyen decroissance de 9 à 10% de l'afflux de touristes étrangers. Rien qu'en2014, plus de 7,87 millions d'arrivées internationales ont été recenséessur l'ensemble du territoire, dont 30% des pays de l'Asie du Nord-Est.Cette année, le pays compte accueillir 7,8-8 millions d'étrangers. -VNA
Le tourisme de Dà Nang s’oriente vers une transition verte et durable
Dà Nang place le développement du tourisme vert au cœur de sa stratégie, en s’appuyant sur des investissements dans les infrastructures durables, les transports publics et la restructuration des flux touristiques. Parallèlement, la ville promeut l’écotourisme, le tourisme communautaire et l’agritourisme afin de désengorger ses sites touristiques principaux et de valoriser l’économie locale.