Le Comité national pour la coopérationéconomique internationale a présenté jeudi à Hanoi le livre "Indice dela coopération du Vietnam pour la période 1995-2009".
Cet ouvrage est le fruit de recherches menées dans le cadre du projetd'amélioration des capacités de gestion et de coordination dansl'intégration à l'économie mondiale du programme d'assistance techniqueau Vietnam en suite de son adhésion à l'Organisation mondiale ducommerce (OMC), lequel est financé par l'Agence australienne dedéveloppement international au Vietnam et le Département britannique dudéveloppement international.
Ses auteurs se sont baséssur les données du commerce, de l'investissement, de l'éducation, dutourisme et de l'aide au développement pour établir des indicesd'évaluation des tendances de la coopération entre le Vietnam et sesneuf partenaires que sont l'ASEAN, la Chine, le Japon, la République deCorée, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'Union européenne, lesEtats-Unis et le Canada.
Selon les résultats, lecommerce entre le Vietnam et ces partenaires représentent 80% deséchanges commerciaux que ce dernier entretient avec le monde.
D'après le vice-ministre de l'Industrie et du Commerce Le Danh Vinh,cet ouvrage est un document de référence pour les décideurs politiques,les investisseurs, les entreprises, les étudiants et les chercheurs.
L'ambassadeur d'Australie au Vietnam, Allaster Cox, a souligné lessuccès du Vietnam dans son intégration à l'économie mondiale, même s'ildoit encore faire face à d'autres défis afin de devenir un paysindustrialisé en 2020.
Il a également affirmé que legouvernement de son pays est disposé à accorder son soutien au Vietnampour la 2e période suivant son entrée à l'OMC. -AVI

De la pêche à l’aquaculture : une révolution verte dans la filière halieutique vietnamienne
Dans le cadre de la transition verte amorcée par plusieurs secteurs de l’économie vietnamienne, l’aquaculture et la pêche ne sont pas en reste. Le Vietnam oriente désormais sa stratégie vers une aquaculture respectueuse de l’environnement et de la santé humaine, afin de minimiser les impacts négatifs sur les écosystèmes côtiers.