Des diplomates,avocats, humanitaires, entrepreneurs et jeunes se sont réunis lundi lorsd'un symposium à Hô Chi Minh-Ville sur le soin, l'aide et la lutte enfaveur des victimes vietnamiennes de l'agent orange/dioxine.
SelonTruong Trong Nghia, vice-président de la Fédération des avocats duVietnam, l'impératif est de mettre en oeuvre les mesures pour endiguerla transmission de la dioxine aux enfants, construire des établissementsde soin, des écoles et des établissements d'enseignement professionnelpour les victimes de l'agent orange/dioxine. L'important est égalementd'accélérer les procédés de lutte pour que justice leur soit rendue,a-t-il poursuivi.
A ce jour, bien que le gouvernementaméricain ne reconnaisse pas encore sa responsabilité juridique dans leproblème de l'agent orange au Vietnam, il a avoué partiellement saresponsabilité. Depuis 2010, les Etats-Unis ont avancé un pland'assistance décennal en faveur des victimes de l'agent orange, d'unbudget total de 300 millions de dollars, selon la doctoresse Nguyên ThiNgoc Phuong, vice-présidente de l'Association des victimes de l'agentorange/dioxine du Vietnam (VAVA), qui a souligné la volonté de sonorganisation de poursuivre la lutte pour la justice des victimes. -AVI
Aucun bilan des victimes vietnamiennes n’était disponible après un séisme au large d’Aomori
Le séisme, dont l’épicentre se situait à environ 80 km au large des côtes de la préfecture d’Aomori, dans le nord-est du Japon, a provoqué de fortes secousses dans toute la région. Les autorités avaient initialement mis en garde contre un risque de tsunami pouvant atteindre 3 mètres de hauteur le long du littoral nord-est, notamment à Hokkaido, Aomori et Iwate. Ces alertes ont ensuite été levées.