Le Vietnam compte coopérer avec leJapon afin d'améliorer des universités et d'ouvrir une université pourformation des ressources humaines hautement qualifiées, a-t-il indiquélors de cet événement qui a eu lieu à Tokyo sous les auspices duquotidien Nikkei et de l'ambassade du Vietnam.
Le Japon,le plus important bailleur de fonds et investissseur du Vietnam, possèdeenviron 1.900 projets cumulant près de 32 milliards de dollars, arappelé Nguyên Thiên Nhân, ajoutant que ces projets ont besoin d'uneimportante main-d'oeuvre.
Le dirigeant vietnamien aestimé que la coopération bilatérale dans l'éducation et la formationcontribuera aussi à davantage promouvoir le partenariat stratégique etla confiance entre les deux pays.
Le vice-ministrejaponais de l'Education, de la Culture, du Sport, des Sciences et desTechnologies, M. Teru Fukui, a réaffirmé que son pays renforcera sacoopération avec le Vietnam dans la culture et les échanges populaires,ainsi que dans la formation d'experts dans les hautes technologiestelles que l'aérospatiale et l'électricité nucléaire.
Dans son intervention, le vice-ministre vietnamien de l'Education et dela Formation, M. Trân Quang Quy, a indiqué que la coopération dansl'éducation, la formation et le développement des ressources humainesest une des priorités de premier ordre du Vietnam dans ses relations departenariat stratégique avec le Japon.
Selon lui, leJapon est l'un des pays qui accordent le plus d'aides non remboursablesau secteur de l'éducation vietnamienne, notamment pour la formation demain-d'oeuvre qualifiée. Il a également affirmé que le gouvernement etle ministère vietnamien de l'Education et de la Formation feront de leurmieux pour accélérer la mise en oeuvre des conventions de coopérationbilatérale. - VNA
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).