Explosion : Hoang Trung Hai travaille avec Phu Tho

Le vice-Premier ministre Hoang Trung Hai a travaillé dimanche avec les autorités de la province de Phu Tho et les dirigeants du Département général de l'industrie (ministère de la Défense) sur l'explosion survenue samedi matin dans une usine de feux d'artifice.
Le vice-Premierministre Hoang Trung Hai a travaillé dimanche avec les autorités de laprovince de Phu Tho et les dirigeants du Département général del'industrie (ministère de la Défense) sur l'explosion survenue samedimatin dans une usine de feux d'artifice.

L'explosion estsurvenue samedi 12 octobre vers 8 heures, dans l'unité 4 de productionde matériel pyrotechnique de l'usine Z 121 du Département général del'Industrie (ministère de la Défense), dont le siège est situé dans lescommunes de Khai Xuan et de Vo Lao, district de Thanh Ba.

Il s'agit de l'unique établissement de production en feux d'artifice du pays, au service des grandes fêtes de la nation.

Selon un bilan daté de dimanche 9 heures, 24 personnes ont été tuées, et 97 autres blessées.

Hoang Trung Hai a adressé ses condoléances aux familles des victimes dela catastrophe. Il a aussi rendu visite aux blessés hospitalisés à lapolyclinique de la province de Phu Tho.

Le vice-Premierministre a demandé aux organismes compétents de bien s'occuper desfunérailles des personnes décédées et du traitement des blessés, deréaliser des enquêtes sur l'origine de l'explosion, de tirer desexpériences ainsi que de bien déterminer les responsabilités.

Selon les experts, un incident technique serait à l'origine de cette explosion. - VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.