Surmontant les difficultés dues auxfluctuations sur les marchés d'embauche des travailleurs, le Vietnam aenvoyé plus de 45.860 travailleurs à l'étranger au premier semestre2011, soit une hausse de près de 24% en glissement annuel.
Les marchés embauchant le plus de travailleurs vietnamiens sont Taïwan,la République de Corée, la Malaisie, le Japon et l'Arabie saoudite.
Il s'agit de signes positifs dans le contexte où l'instabilité en Libyea poussé plus de 10.000 travailleurs à retourner au pays avant terme,sans parler du Grand séisme et du tsunami au Japon qui ont eu un impactsur le travailleurs vietnamiens.
Le gouvernementisraélien a décidé d'arrêter d'embaucher des travailleurs vietnamiens àpartir de mars dernier. Mais cette décision ne devrait pas êtreeffective bien longtemps en raison de la signature prochaine de laconvention de coopération en matière d'emploi entre les deux pays.
Pour parvenir à l'objectif d'envoyer 87.000 travailleurs à l'étrangeren 2011, le ministère du Travail, des Invalides de guerre et desAffaires sociales maintient les liens avec les débouchés traditionnelsdont la République de Corée, la Malaisie et Taïwan.
Parailleurs, il accélère le rythme des négociations avec Israël afind'achever leur projet de convention de coopération sur l'emploi et lefaire approuver par le gouvernement dans l'optique de rouvrir cemarché, où les travailleurs sont bien payés (1.500 dollars par mois).
Sur le marché japonais, outre les personnes suivant des cours deperfectionnement professionnel, le Département de gestion destravailleurs à l'étranger est en train de négocier avec le Japon dansl'envoi d'infirmiers et de gardes-malades dans ce pays.
Ce Département coopère également avec les entreprises et établissementsde formation professionnelle en vue de stimuler la formationprofessionnelle en fonction de la demande des marchés. L'accent est misnotamment sur les métiers demandés comme soudeur et infirmier ainsi quesur l'amélioration des compétences professionnelles des travailleurs àl'étranger. -AVI
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Ho Chi Minh-Ville se fixe pour objectif de devenir, d’ici 2030, un pôle régional de premier plan en matière de science, de technologie et d’innovation, tout en édifiant un écosystème suffisamment robuste pour permettre au Centre financier international de fonctionner sur la base des données ouvertes, des actifs numériques transparents et des flux de technologies financières (fintech).
