COVID-19 : les visites au mausolée du Président Ho Chi Minh suspendues à partir du 23 mars

Le mausolée du Président Ho Chi Minh à Hanoï arrêtera temporairement l'accueil des visiteurs à partir du 23 mars, en raison des risques liés à l’épidémie de coronavirus (COVID-19).
COVID-19 : les visites au mausolée du Président Ho Chi Minh suspendues à partir du 23 mars ảnh 1Le mausolée du Président Ho Chi Minh. Photo : VNA

Hanoï (VNA) – Le mausolée du Président Ho Chi Minh à Hanoï arrêtera temporairement l’organisation des visites pour rendre hommage au grand leader national et aux héros morts pour la Patrie, ainsi que des visites sur la place Ba Dinh, à partir du 23 mars, en raison des risques liés à l’épidémie de coronavirus (COVID-19).

Selon le comité de gestion du mausolée, les visites reprendront à un moment approprié.

Le 21 mars au soir, le ministère de la Santé a confirmé deux nouveaux cas de COVID-19, portant le total au Vietnam à 94.

A l’échelle internationale, selon un bilan samedi, plus de 277.106 cas d’infection ont été détectés dans 164 pays et territoires depuis le début de l’épidémie. Le COVID-19 a fait au moins 11.737 morts.-VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

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L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.