Conférence sur l’éducation aux droits de l’homme dans les écoles

Une conférence nationale sur l’intégration de contenus relatifs aux droits de l'homme dans les programmes d'enseignement de l'éducation nationale a eu lieu le 19 octobre.
Conférence sur l’éducation aux droits de l’homme dans les écoles ảnh 1Photo d'illustration: VNA
Hanoï (VNA) –Une conférence nationale sur l’intégration de contenus relatifs aux droits del'homme dans les programmes d'enseignement de l'éducation nationale a eu lieule 19 octobre.

Cet événement,organisé à la fois en présentiel et par visioconférence, était intitulé « Directiven°34/CT-TTg du Premier Ministre relative au renforcement de la mise en œuvre duProjet d’intégration de contenus relatifs aux droits de l'homme dans lesprogrammes d'enseignement de l'éducation nationale ».

Il était présidépar le professeur et docteur Nguyen Xuan Thang, membre du Bureau politique,directeur de l’Académie nationale de politique Ho Chi Minh, président duConseil théorique central.
Conférence sur l’éducation aux droits de l’homme dans les écoles ảnh 2Panorama de la conférence. Photo: VNA

Lors de laconférence, Nguyen Xuan Thang a souligné l’importance de cet événement dans lecontexte où le Vietnam venait d’être élu au Conseil des droits de l’homme desNations Unies pour le mandat 2023-2025.

Soulignant que d'ici fin 2025, 100% des établissementsd'enseignement du système éducatif national devraient organiser une éducationaux droits de l'homme pour les apprenants, Nguyen Xuan Thang a demandé auxorganes concernés d’accélérer la mise en œuvre des tâches assignées pourassurer le rythme et la qualité du travail. -VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.