Conférence sur la lutte anti-criminalité Vietnam-Laos-Cambodge

La 2e conférence ministérielle sur la lutte contre la criminalité Vietnam-Laos-Cambodge a eu lieu mardi dans la ville de Da Lat, province de Lam Dong (Hauts Plateaux du Centre).
La 2e conférenceministérielle sur la lutte contre la criminalité Vietnam-Laos-Cambodge aeu lieu mardi dans la ville de Da Lat, province de Lam Dong (HautsPlateaux du Centre).

Cette conférence a publié unedéclaration commune précisant les orientations de la coopération entreles forces de police des trois pays pour les temps à venir. La prioritéportera sur les mesures de règlement des questions concernant lescitoyens résidant dans d'autres pays.

De même,l'investissement et le tourisme seront promus, et les échangesd'informations pour assurer l'ordre et la sécurité dans les zonesfrontalières et la région du Triangle de développementVietnam-Laos-Cambodge seront renforcés.

Les forcescompétentes des trois pays continueront de collaborer étroitement pourlutter contre la criminalité et empêcher tous les complots visant àsaper les relations d'amitié traditionnelle des trois pays. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.