Bombes et mines: 14.000 mlds de dongs pour régler les conséquences

Le Premier ministre a approuvé un Plan d'action national de règlement des conséquences des bombes, mines et autres munitions non explosées laissées par la guerre pour 2015.
Le Premier ministre aapprouvé un Plan d'action national de règlement des conséquences desbombes, mines et autres munitions non explosées laissées par la guerrepour 2015.

Ce plan a pour objet, entre autres, demobiliser et d'employer effectivement toutes les ressources du commehors du pays afin de parvenir à un règlement durable des impacts et desséquelles de ces engins, de garantir la sécurité de la population, ainsique d'aider les victimes à se réintégrer dans la société.

Il est doté d'un budget de 14.000 milliards de dongs qui permettra lamise en oeuvre de projets d'assistance des victimes pour se réintégrerdans la société, notamment dans les zones de forte densité de cesmunitions non explosées, d'information de la population sur les risquesde ces dernières, ainsi que de campagnes de déminage en vue de libérerde nouvelles terres au service de l'agriculture...

Lesministères, secteurs, organes centraux comme locaux, l'Union desorganisations d'amitié du Vietnam et le Comité d'Etat de pilotage duProgramme d'action national sur le règlement des problèmes posés par lesengins explosifs laissés par la guerre pour la période 2010-2015 - ouProgramme 504, sont chargés de l'application de cette décision qui entreen vigueur le 13 mai.

Bien que la guerre se soitachevée il y a 37 ans, il demeure près de 800.000 tonnes de munitionsnon explosées enfouies sur une superficie d'environ 6,6 millionsd'hectares, soit plus de 20% du territoire, lesquelles ont tué ou blessédepuis plus de 100.000 personnes, dont nombre d'enfants. -VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.