Binh Duong: De généreuses stars du football vietnamien

Les jeunes stars du football vietnamien Quang Hai, Bùi Tiên Dung et Doàn Van Hâu, du club de Hanoï, ont fait don de bourses d'études et de livres aux orphelins et autres enfants des rues de Binh Duong.
Binh Duong: De généreuses stars du football vietnamien ảnh 1Cérémonie de don des bourses d'études à des enfants de rue de Binh Duong (Sud).

Binh Duong (VNA) - Les jeunes stars du football vietnamien Quang Hai, Bùi Tiên Dung et Doàn Van Hâu, du club de Hanoï, ont fait don de bourses d'études et de livres aux orphelins et autres enfants des rues de la province méridionale de Binh Duong.

Cela s’est passé le week-end dernier, dans le cadre du programme "Partage de l'amour", au Centre humanitaire pour les orphelins et les enfants handicapés Quê Huong, province de Binh Duong.

Quang Hai, Bùi Tiên Dung et Doàn Van Hâu, nouvelles stars du football vietnamien issues de l'équipe des moins de 23 ans, participent souvent à des échanges chaleureux, des salutations publiques après leurs matchs, mais c’était la première fois qu'ils rencontraient des jeunes en détresse de Binh Duong.

Les bourses d’études distribuées ont été estimées à 180 millions de dôngs.

De plus, ces trois jeunes ont dédicacé des livres de la bibliothèque "Semence d’âme” et joué au football avec les orphelins. Les 400 enfants concernés ont laissé éclater leur joie tout en échangeant directement avec leurs idoles qu’ils n’avaient vu qu’à la télévision ou dans des magazines.

Enfin, avant de partir, les trois vedettes leur ont offert quelques maillots. -CVN/VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.