La Conférence de Rio surle développement durable (Rio+20) qui s’est tenue à Rio de Janeiro du 20au 22 juin 2012, avait pour but de façonner de nouvelles politiquesvisant à promouvoir la prospérité mondiale et la protection del'environnement.
Les chefs d'État et de gouvernement avaientrenouvelé leur engagement en faveur du développement durable et de lapromotion d'un avenir durable sur les plans économique, social etenvironnemental, pour notre planète comme pour les générations actuelleset futures.
En adoptant « L'avenir que nous voulons »,le Document final de Rio+20, les États avaient en effet convenu demettre en place « un processus intergouvernemental » afin d'évaluer lesbesoins de financement, d'examiner l'efficacité, la cohérence et lessynergies des instruments et cadres existants. L'objectif est d'établirun rapport proposant des options pour une stratégie efficace definancement du développement durable.
Avec la décisionqui crée le « Comité intergouvernemental d'experts sur le financement dudéveloppement durable », l'Assemblée désigne les 30 spécialistes nomméspar les cinq groupes régionaux des Nations Unies et les prie de teniren août 2013, au plus tard, la première séance des travaux qui devraients'achever en 2014.
Dans sa décision, l'Assembléedécide en outre que les groupes régionaux seront autorisés à pourvoir auremplacement des experts qui cessent leurs fonctions dès que sonPrésident et le Comité en auront été informés par le groupe régionalconcerné.
Les 30 experts désignés aujourd'hui viennentdes pays suivants: Afrique du Sud, Guinée, Éthiopie, Libye, Maurice,Nigéria et République démocratique du Congo (RDC); Arabie saoudite,Chine, Indonésie, Iran, Japon, Pakistan et République de Corée;Bulgarie, Estonie, Fédération de Russie, Serbie et Slovaquie; Brésil,Chili, Cuba, Jamaïque, Sainte-Lucie et Venezuela; Allemagne, Australie,Finlande, France et Royaume-Uni. – VNA