Ho Chi Minh-Ville (VNA) - La Semaine de la Francophonie est organisée du 17 à 29 mars à Hô Chi Minh-Ville par le Service municipal de l’éducation et de la formation, en partenariat avec l’Union des associations d’amitié, le Centre régional francophone d’Asie-Pacifique de l’Organisation internationale de la Francophonie.
Le consul général de Suisse Othmar Hardegger a informé que dans son pays, les gens parlent beaucoup de langues, dont le français. Les activités de la Semaine de la Francophonie au Vietnam visent à honorer la richesse culturelle de la communauté francophone.
Le point d’orgue de cette semaine spéciale sera la fête de la Francophonie, prévue le 19 mars au jardin botanique et zoologique de Hô Chi Minh-Ville. Plus de 3.000 personnes sont attendues. À côté des stands d’établissements scolaires, d’universités et de pays francophones sont prévus des numéros de chants et de danses d’élèves et étudiants francophones, des jeux, une tombola… Athésia, chanteuse canadienne d’origine haïtienne, invitée par le consulat général du Canada, offrira aux spectateurs un concert acoustique de haute qualité.
Les passionnés de photographie pourront participer à un grand rallye qui primera les cinq meilleures photos prises durant cette journée et qui seront par la suite publiées dans Le Courrier du Vietnam. Le programme sera enrichi par un spectacle de chant folklorique présenté par des artistes roumains.
Le thème de la Fête de la Francophonie 2017 est «J'aime, je partage mon 20 mars». Ce thème s’oriente vers les jeunes et les incite à participer aux activités à travers les réseaux sociaux. Il est également compatible avec le thème général sélectionné par les partenaires francophones, à savoir «la technique numérique».
Cette Semaine de la Francophonie comprendra comme autres activités des spectacles musicaux, des pièces de théâtre, une exposition, un séminaire, un festival du film francophone... -CVN/VNA
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).
