Résultats d'une enquête sur les enfants et les femmes

Les résultats de l'Enquête à Indicateurs Multiples 2010-2011 (MICS4) ont été rendus publics vendredi par le Département général des Statistiques, en collaboration avec l'UNICEF et l'UNFPA.

Les résultats de l'Enquête à IndicateursMultiples 2010-2011 (MICS4) ont été rendus publics vendredi par leDépartement général des Statistiques, en collaboration avec l'UNICEF etl'UNFPA.

En matière de vaccination, deux enfants âgés de 12 à 23 mois sur cinqont en moyenne accès aux vaccins nécessaires, avec un taux d'un surdeux en zone urbaine et d'un sur trois en zone rurale.

Concernant la nutrition, un enfant de moins de 5 ans sur quatre souffred'une malnutrition chronique, en particulier sur le plan de la taille.

S'agissant des accouchements, neuf sur dix ont lieu dans desétablissements de santé. Le nombre de femmes soumises à un test de VIHavant d'accouchement est élevé en zone urbaine et près du double decelui en zone rurale.

Sur le plan de l'eau potable et de l'hygiène environnementale, sept Vietnamiens sur dix en bénéficient.

Selon le directeur du Département général des Statistiques Do Thuc,avec ses données importantes sur la protection et les soins desenfants, la MICS4 contribue au suivi de la poursuite des objectifsdéfinis en ce domaine comme à l'élaboration d'un plan pour unemeilleure protection des enfants.

Appréciant la qualitéde la MICS4, Lotta Sylwander, représentante en chef de l'UNICEFVietnam, a affirmé que les données exactes et signisficatives de cetteenquête permettront au Vietnam de mieux surveiller ses progrès en vued'atteindre ses objectifs nationaux comme ceux de ses engagementsmondiaux, à commencer par les Objectifs du Millénaire pour leDéveloppement dont le terme de 2015 approche.- AVI

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.