Programmation : Vietnam au top 10 du concours ACM/ICPC

Deux équipes vietnamiennes de l'Université FPT ont figuré parmi les 10 premières du concours international de programmation ACM/ICPC en Asie, réservé aux étudiants, tenu le 4 novembre en Thaïlande.

Deux équipes vietnamiennes de l'UniversitéFPT ont figuré parmi les 10 premières du concours international deprogrammation ACM/ICPC en Asie, réservé aux étudiants, tenu le 4novembre en Thaïlande.

Ce concours a réuni 60 équipes venues de Hong Kong, de Chine, deThaïlande, de Singapour... dont neuf vietnamiennes des Universités FPT,des technologies de Hanoi, de l'École polytechnique de Ho ChiMinh-Ville, de l'Université des sciences naturelles...

La gagnante est l'équipe chinoise de l'Université de Zhejiang.

Dans ce Top 10 d'ACM/ICPC, on remarque plusieurs écoles classées dansla liste des 100 meilleures universités du monde (Université de Pékin,des sciences et des technologies de Hong Kong, Université nationale deSingapour), ainsi que des écoles réputées dans la région (Universitésingapourienne des technologies de Nanyang et Université thaïlandaisede Chulalongkorn...). -AVI

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.