En 2011, le Département général de l'apprentissage (du ministère du Travail, des Invalides de guerre et des Affaires sociales) prête attention à la formation de haute qualité et l'apprentissage des travailleurs locaux.

Selon le plan, il devra recruter et former 1,86 million de travailleurs et apprendre un métier à 800.000 travailleurs ruraux, a déclaré le vice-président du département, Cao Van Sam.

La formation en 2011 s'oriente vers les secteurs d'électronique, d'assemblage de machines, de textile et habillement, de finances et banque, de transformation alimentaire, d'artisanat, de décoration intérieure, d'architecture,...

Le groupe d'emplois saisonniers comme l'assistance ménagère, les soins aux personne âgées, la vente,... qui devrait se développer fortement désormais, fera l'objet de la première des priorités de la formation annuelle.

Concrètement, le département formera 530.000 ouvriers pour le textile et l'habillement, 151.000 pour l'électricité, 50.000 pour la construction navale, 15.000 pour l'assemblage de machines,...

La coopération entre les écoles d'apprentissage et les entreprises pour soutenir efficacement la formation ainsi que fournir les ressouces humaines sur place sera déterminée par le département de la formation. Rien que pour les secteurs de pointe et de hautes technologies, la formation se fera en fonction des commandes des entreprises.

Quant à l'apprentissage des travailleurs locaux, le département envisage de former 800.000 ruraux et d'assurer un emploi pour 70 % d'entre eux après leur formation.

Pour atteindre cet objectif, le département accélère la consultation sur l'emploi, la création des centres d'apprentissage du niveau de district ainsi que la supervision de l'utilisation du budget d'Etat pour la formation et l'apprentissage.

Selon Cao Van Sam, il faut créer des écoles d'apprentissage capables de former des ouvriers qualifiés satisfaisant aux normes internationales. Chaque localité doit disposer d'une école qui apprend, au moins, deux métiers aux critères nationaux afin de subvenir à ses propres besoins.

En outre, il faut renforcer le contrôle de la qualité de la formation et de l'apprentissage et inviter les experts étrangers à venir évaluer la formation dispensée au Vietnam. - AVI