Le président du CC du FPV rencontre le président du Conseil épiscopal du Vietnam

Le président du Comité central du FPV, Nguyen Thien Nhan, a reçu vendredi matin à Hanoi l'archevêque Bui Van Doc de Ho Chi Minh-Ville, président du Conseil épiscopal du Vietnam.
Le président du CC du FPV rencontre le président du Conseil épiscopal du Vietnam ảnh 1Le président du Comité central du FPV Nguyen Thien Nhan (droite), et le président du Conseil épiscopal du Vietnam, Bui Van Doc. Photo: VGP

Hanoi (VNA) - Nguyen Thien Nhan, membre du Bureau politique et président du Comité central (CC) du Front de la Patrie du Vietnam (FPV), a reçu vendredi matin à Hanoi, l'archevêque Bui Van Doc de Ho Chi Minh-Ville, président du Conseil épiscopal du Vietnam.

Nguyen Thien Nhan a formulé ses meilleurs vœux du Nouvel An lunaire aux dignitaires du Conseil épiscopal et aux catholiques. Il a informé son interlocuteur de l'évolution positive des relations entre le Vietnam et le Vatican lors de ces derniers temps, et apprécié le message du Pape sur la protection de l'environnement.

En décembre dernier, le FPV, en collaboration avec le ministère des Ressources naturelles et de l'Environnement et 14 religions, a organisé une conférence nationale sur la promotion du rôle des religions dans la protection de l'environnement et la lutte contre le changement climatique.

Nguyen Thien Nhan a proposé aux membres du Conseil épiscopal du Vietnam d'encourager les prêtres et les fidèles à participer aux activités sociales, aux mouvements de patriotisme, au programme de coopération pour la protection de l'environnement et la résilience au changement climatique, etc.

L'archevêque Bui Van Doc a remercié le président du CC du FPV et présenté ses vœux au CC du FPV. -VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.