Toujours d’après cette enquête,67% des Tchèques consomment souvent des plats vietnamiens, 19 % trèssouvent et 1% en mangent tous les jours.
A Prague,l’ouverture d’un restaurant attire beaucoup d’investisseurs parmi ladiaspora vietnamienne en République tchèque, après le bazar et lecommerce des fruits, légumes et aliments vietnamiens. Aucun recensementn'a encore été réalisé concernant le nombre de restaurants et autresfast-foods tenus par des Vietnamiens, mais près d'une centained'établissements de ce genre sont ouverts, selon l'estimation la plusmodeste.
Les Tchèques aiment les plats vietnamiens,comme l'attestent certaines rues du centre de Prague, où l'on trouvebeaucoup de restaurants et fast-foods vietnamiens avec une clientèleassez nombreuse.
D’autres signes viennent étayer cettethèse : si auparavant, les enseignes et le nom des plats vietnamiensdans le menu étaient inscrits en caractères chinois, aujourd’hui, lesenseignes et le contenu du menu ont repris leur origine. Lareprésentation de la préparation de plats traditionnels vietnamiensdevient une activité incontournable dans les programmes d’échangesculturels entre les communautés minoritaires en République tchèque.Signe que la gastronomie vietnamienne a pris du galon.
Depuis la reconnaissance de la diaspora vietnamienne en tant quecommunauté minoritaire en République tchèque en 2013, la cuisinevietnamienne affirme de plus en plus son rôle d’ambassadeur de laculture de Dong Son (village symbolisant la période la plus brillante del'âge de bronze au Vietnam).-VNA
Entre sons et couleurs, l’art traditionnel anime le Vieux Quartier de Hanoï
Chaque samedi soir, la façade de l'ancienne maison sise au 64 rue Ma Mây, dans le quartier de Hoan Kiêm à Hanoï, s'anime d'un spectacle d'art traditionnel envoûtant. Au cœur du dynamisme trépidant de la rue piétonne, la musique folklorique résonne avec force, affirmant la vitalité persistante de la culture vietnamienne au cœur de la capitale.