Selon les statistiques du Département de gestion des travailleurs àl'étranger, le Japon a accueilli 588 travailleurs vietnamiens en avril2011, dont 182 femmes.
Chaque mois, la compagnie LODenvoie en moyenne de 20 à 30 personnes au Japon, a déclaré sondirecteur général Nguyen Cong Binh.
Selon Nguyen XuanVui, directeur général de la société par actions de services et decommerce aérien (Airseco), sa compagnie a signé une conventiond'embauche de plus 200 travailleurs pour des sociétés japonaises deproduction d'accessoires de voitures, de transformation alimentaire, deconfection...
Outre les usines endommagées par lesséismes et le tsunami, d'autres entreprises japonaises continueront derecruter des travailleurs vietnamiens, a déclaré Nguyen Gia Liem,président du Comité de gestion des travailleurs vietnamiens au Japon.
Nguyen Van Phuong, ouvrier de la compagnie Takara (Japon), a indiquéqu'après 18 mois de travail dans ce pays, il reçoit un salaire mensuelde 80.000 yens, et que son employeur souhaite embaucher davantage detravailleurs vietnamiens.
Selon Nguyen Van Vui, aprèsles séismes et le tsunami, de nombreux travailleurs vietnamiens ontdécidé de rester au Japon pour aider leurs entreprises à régler leursproblèmes, raison pour laquelle leur image s'est considérablementaméliorée.
Il s'agit d'une bonne opportunité pour les sociétés d'envoi de travailleurs à l'étranger. -AVI
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).