Ha Giang: bilan d'un projet de coopération avec le Yunnan

Le comité populaire de la province de Ha Giang (Nord) a fait mercredi le bilan de la première année du projet de coopération pour la période 2012-2015 avec la préfectue de Wenshan, province chinoise du Yunnan.
Le comité populairede la province de Ha Giang (Nord) a fait mercredi le bilan de lapremière année du projet de coopération pour la période 2012-2015 avecla préfectue de Wenshan, province chinoise du Yunnan.

Lors de la réunion, le vice-président permanent du comité populaireprovincial, Nguyen Van Son, a apprécié de nombreuses activitésorganisées l'an passé par les deux parties contribuant au renforcementde l'amitié, de la confiance mutuelle ainsi que de la coopérationbilatérale dans tous les domaines.

Pour approfondir lesrelations bilatérales, les deux provinces coopéreront étroitement dansl'échange d'informations et la mise en oeuvre de mesures dedéveloppement socioéconomique, a-t-il souligné, avant de demander derenforcer aussi leur coopération ainsi que la promotion del'investissement et du commerce.

Selon lui, Ha Giangcontinue d'appeler les investissement et d'accorder la priorité àl'amélioration des infrastructures de ses postes-frontières, notammentdans la zone économique de celle de Thanh Thuy, répondant au demande dedéveloppement économique des régions frontalières pour la période2013-2015.

Le chiffre d'affaires à l'import-export de HaGiang s'est élevé à 352 millions de dollars en 2012 (soit une croissanceannuelle de 23 %) et à 350 millions lors des neuf premiers mois de2013. Cette année, la province table sur 400 millions de dollars. -VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.