Diminution du taux de pauvreté en 2014

Le taux de pauvreté du Vietnam en 2014 est estimé de 5,8 à 6 %, contre 7,8 % en 2013, selon une synthèse présentée le 16 janvier lors d'une réunion à Hanoi du Comité central de pilotage de la réduction durable de la pauvreté.

Le taux de pauvretédu Vietnam en 2014 est estimé de 5,8 à 6 %, contre 7,8 % en 2013, selonune synthèse présentée le 16 janvier lors d'une réunion à Hanoi duComité central de pilotage de la réduction durable de la pauvreté.

Cette réunion, présidée par le vice-Premier ministre Vu Van Ninh, apermis de passer en revue le travail de ce comité en 2014 et de définirles orientations de 2015.

Selon des statistiquescommuniquées lors de celle-ci, 34.700 milliards de dôngs (plus de 1,6milliard de dollars) ont été employés en 2014 au service de la luttecontre la pauvreté, dont 30.800 milliards issus du budget public. Cesfonds ont directement contribué au recul de la pauvreté dans le pays, enparticulier dans les districts particulièrement démunis puisque le tauxy est passé de 38,2 % en 2013 à 33,2 %.

Cette année,l'objectif est un taux national de pauvreté en-deçà de 5 %, et dans lesdistricts prioritaires, de 30 %. Pour la période 2016-2020, le taux depauvreté doit reculer de 1 à 1,5 % chaque année au niveau national, etde 3 à 4 % dans les districts particulièrement démunis.

Lors de cette réunion, le vice-Premier ministre Vu Van Ninh a appréciéles réalisations du Comité central de pilotage de la réduction durablede la pauvreté. Pour 2015, il a insisté sur la nécessité de faire ensorte d'accélérer la réduction de la pauvreté dans les zones reculées etde limiter la paupérisation, ainsi que de continuer de perfectionnerles politiques en ce domaine... -VNA

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Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.