Colloque sur l'assistance aux victimes des bombes et mines

Le 3 décembre à Hanoi s'est tenu un colloque consacré aux mesures de renforcement des relations entre le Vietnam et ses partenaires de développement dans l'assistance aux victimes d'engins explosifs laissés par la guerre.
Le 3 décembre à Hanois'est tenu un colloque consacré aux mesures de renforcement desrelations entre le Vietnam et ses partenaires de développement dansl'assistance aux victimes d'engins explosifs laissés par la guerre.

Ce colloque a été organisé par le ministère du Travail, des Invalidesde guerre et des Affaires sociales, dans le contexte où le Vietnam vientde ratifier la Convention relative aux droits des personneshandicapées.

Le Vietnam dénombre environ 7 millions depersonnes handicapées, soit 7,8 % de sa population. Parmi elles figurentde nombreuses victimes des mines et bombes. Chaque année, elles font2.270 blessés et plus de 1.500 morts.

Promouvoir lesdroits des personnes handicapées et, plus particulièrement, des victimesde ces engins explosifs, est une priorité du gouvernement vietnamien.Outre ses efforts pour perfectionner ses textes juridiques, le Vietnam alancé divers programmes et participé à de nombreuses initiativesinternationales en la matière. Il figure parmi les premiers pays à avoirsigné la Convention relative aux droits des personnes handicapées et laratification de ce document permettra d'améliorer les soins desvictimes et de favoriser leur réinsertion sociale.

Lesparticipants au colloque ont avancé plusieurs mesures pour encouragertoute la société, les organisations internationales et les ONG à mieuxappuyer les victimes de ces engins explosifs, dont un renforcement descampagnes médiatiques et l'élaboration de programmes d'assistanceefficaces. -VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.