Colloque sur la sécurité des travailleurs migrants

L'Organisation internationale du Travail (OIT), en collaboration avec l'Association des journalistes du Vietnam (AJV), a organisé lundi dans la ville de Dong Hoi, province de Quang Binh (Centre), un colloque sur la sécurité des travailleurs migrants.
L'Organisationinternationale du Travail (OIT), en collaboration avec l'Association desjournalistes du Vietnam (AJV), a organisé lundi dans la ville de DongHoi, province de Quang Binh (Centre), un colloque sur la sécurité destravailleurs migrants.

Lors du colloque, levice-président permanent de l'AJV, Ha Minh Hue, a souligné le rôle de lapresse dans ce problème, notamment avec ses informations surl'application des politiques vis-à-vis des travailleurs migrants, ainsique sur les offres d'emploi dans le pays et à l'étranger...

Le colloque a permis à ses participants, dont de nombreux journalistes,d'étudier la protection sociale des travailleurs migrants et lesméthodes pour donner des informations précises sur ce problème, en vuede mieux assurer les droits et intérêts légitimes de ces personnes.-VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.