Aides de la BM au secteur éducatif vietnamien

La direction de la Banque mondiale (BM) a récemment approuvé l'octroi de deux crédits au Vietnam, d'un montant total de 150 millions de dollars, pour l'aider dans son programme de réforme de l'enseignement supérieur et de scolarisation des enfants de moins de 5 ans.
La direction de laBanque mondiale (BM) a récemment approuvé l'octroi de deux crédits auVietnam, d'un montant total de 150 millions de dollars, pour l'aiderdans son programme de réforme de l'enseignement supérieur et descolarisation des enfants de moins de 5 ans.

Le programmede développement de l'enseignement universitaire, 3e phase, aidera dansla mise en oeuvre des politiques de renforcement de la gestion, desfinances et de la qualité de l'éducation.

Le 2e créditcontribuera à renforcer les capacités des enfants de maternelle avantleur entrée à l'école primaire pour la période 2010-2015. Ce projetaidera à élargir le programme de scolarisation dans les écolesmaternelles, à améliorer les capacités des enseignants et directeursd'écoles.

La BM se réjouit d'octroyer des aides auVietnam dans le domaine éducatif qui l'aideront à rehausser sacompétitivité économique, a confié Mme Victoria Kwakwa, directrice de laBM au Vietnam.

L'amélioration de la qualité del'éducation est une partie importante du programme de développementsocio-économique du Vietnam. L'éducation est considérée par legouvernement vietnamien comme l'un des trois secteurs stratégiques pourle développement socio-économique du pays durant la période 2011-2020,a-t-elle souligné.

Ces crédits, octroyés parl'Association de développement international, une institution relevantde la BM, visent à assister les pays à bas revenus. - AVI

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.