Thaïlande: les élections sont le moyen unique pour résoudre la crise
Lors d'un point presse
tenu lundi à Bangkok, le Premier ministre par intérim thaïlandais
Niwattumrong Boonsongpaisan a affirmé que les élections étaient le moyen
unique pour sortir de la crise.
Lors d'un point presse
tenu lundi à Bangkok, le Premier ministre par intérim thaïlandais
Niwattumrong Boonsongpaisan a affirmé que les élections étaient le moyen
unique pour sortir de la crise.
"Nous sommes ouverts au dialogue" a-t-il déclaré avant de poser comme condition "Parlons de façon réaliste". Le Premier ministre par intérim a également refusé la possibilité d'une guerre civile car, selon lui, son gouvernement contrôle bien la situation.
Niwattumrong Boonsongpaisan a été nommé le 7 mai Premier ministre, pour assurer l'intérim après le limogeage de Yingluck Shinawatra. Actuellement, son gouvernement accélère l'organisation des législatives prévues le 20 juillet.
Dans la rue depuis six mois, les manifestants antigouvernementaux ne démordent pas de leur idée d'instaurer à la place du cabinet intérimaire un "conseil du peuple", non élu, en charge de "réformes" du système.
Cependant, les Chemises rouges, puissant mouvement favorable au gouvernement thaïlandais, ont mis en garde leurs opposants contre une "guerre civile" en cas de chute du gouvernement intérimaire. Ils ont déclaré ne pas accepter la nomination antidémocratique et anticonstitutionnelle d'un gouvernement. -VNA
"Nous sommes ouverts au dialogue" a-t-il déclaré avant de poser comme condition "Parlons de façon réaliste". Le Premier ministre par intérim a également refusé la possibilité d'une guerre civile car, selon lui, son gouvernement contrôle bien la situation.
Niwattumrong Boonsongpaisan a été nommé le 7 mai Premier ministre, pour assurer l'intérim après le limogeage de Yingluck Shinawatra. Actuellement, son gouvernement accélère l'organisation des législatives prévues le 20 juillet.
Dans la rue depuis six mois, les manifestants antigouvernementaux ne démordent pas de leur idée d'instaurer à la place du cabinet intérimaire un "conseil du peuple", non élu, en charge de "réformes" du système.
Cependant, les Chemises rouges, puissant mouvement favorable au gouvernement thaïlandais, ont mis en garde leurs opposants contre une "guerre civile" en cas de chute du gouvernement intérimaire. Ils ont déclaré ne pas accepter la nomination antidémocratique et anticonstitutionnelle d'un gouvernement. -VNA