Le groupe HAGL observe toujours la loi du Laos et du Cambodge
Doan Nguyen Duc a également affirmé que toutes les
accusations de l'ONG Global Witness sur la déforestation et
l'appropriation de terres par Hoang Anh Gia Lai au Laos et au Cambodge
étaient totalement fausses.
Selon lui, Hoang Anh Gia Lai
n'a reçu que des terres avec l'autorisation des gouvernements laotien
et cambodgien, et n'a pas occupé de terres pour la plantation
d'hévéas.
Au Cambodge, quatre entreprises de Hoang Anh
Gia Lai ont investi dans une zone de près 40.000 ha. Cela n'a pas violé
la loi cambodgienne, qui autorise une entreprise à ne pas posséder plus
de 10.000 ha.
Il est également faux de dire que Hoang
Anh Gia Lai a illégalement exploité du bois dans ces deux pays . Elle
n'a pas participé à la vente aux enchères ainsi qu'à l'exploitation de
bois au Laos et au Cambodge, a dit Doan Nguyen Duc.
Afin
de clarifier les choses, Hoang Anh Gia Lai a invité l'ONG Global Witness
et les agences de presse internationales à venir étudier les zones où
Global Witness dit qu'elle a exploité illégalement du bois et occupé des
terrains. Cependant, le 16 mai, Global Witness a déclaré qu'elle
n'acceptait pas de venir sur le terrain et qu'elle voulait rencontrer
seulement les chefs de Hoang Anh Gia Lai au Vietnam.
Selon Doan Nguyên Duc, les accusations de Global Witness n'ont aucune
valeur juridique mais ont affecté les affaires de son groupe.
Dans un future proche, Hoang Anh Gia Lai invitera les organisations
internationales indépendantes à venir évaluer les impacts
environnementaux et sociaux de ses investissements au Vietnam, au Laos
et au Cambdoge. En même temps, le groupe va également demander des
certificats de protection des forêts FSC du Forest Stewardship Council.
Le groupe HAGL a commencé à investir dans la plantation
d'hévéas au Laos en 2008 et au Cambodge en 2009. Actuellement, sa
superficie de plantation d'hévéas au Laos est de 27.000 ha, et au
Cambodge de 13.800 ha. Jusqu'ici, il a accordé plus de 30 millions de
dollars pour les activités caritatives comme la construction de ponts,
de routes, d'hôpitaux et d'écoles dans ces deux pays.
Actuellement, presque tous les travailleurs des fermes de caoutchouc de
Hoang Anh Gia Lai au Laos et au Cambodge sont des locaux. Leur niveau de
vie s'est considérablement amélioré. -VNA